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Au fil de la vie. Pierrot découvre les fêtes chrétiennes

ID 1436
ID 1436 

Un livre richement illustré pour présenter aux enfants Vendredi saint, Pâques, Noël ou Ascension, mais aussi baptême et confirmation, funérailles, bénédiction de couples… 

Auteur: Armin Kressmann, Amélie Buri
Editeur: OPEC
Parution : mars 2016
Format 28.5 x 15.5 cm, couverture cartonnée
52 pages, dont 18 pages à déplier

A commander chez Olivetan, France: http://www.editions-olivetan.com/catechese-6-11-ans/742-au-fil-la-vie-pierrot-decouvre-les-fetes-chretiennes.html

A commander chez l’OPEC, Suisse: http://www.protestant-edition.ch/au-fil-de-la-vie

 

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Voici un livre orginal, par son format oblong tout d’abord, mais aussi par son contenu.

A travers les yeux de Pierrot, un petit garçon en visite chez ses grands-parents, nous regardons l’album de photos familial avec, bien sûr, les photos des différents événemrnts familaux: naissance, confirmation, deuil, Pâques, baptême, Noël, dimanche, etc.

Vous pouvez suivre l’histoire de Pierrot de bout à bout, illustrée de magnifiques dessins, et « simplement » lire l’histoire de Pierrot. Vous pouvez aussi prendre le temps de vous arrêter pour découvrir, raconter, illustrer et en savoir plus sur chaque fête chrétienne ou événement de la vie. Dans ce cas, vous « dépliez » la page, et vous enrichissez votre lecture d’informations utiles et très bien présentées.

Un livre à mettre entre les mains des parents, grands-parents et catéchètes qui souhaitent accompagner les enfants dans la découverte des grands événements de la vie chrétienne…

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La Réforme, matin du monde moderne

   90 pages pour renouveler son regard sur le protestantisme, tel pourrait être le sous-titre de La Réforme, Matin du monde moderne par Michel Grandjean, professeur d’histoire du christianisme à la Faculté de théologie de Genève, Éditions Cabédita, 2016, 91 pages.

Publié dans la perspective du 500e anniversaire de l’affichage par Luther de ses thèses contre le trafic des indulgences sur la porte de l’église de Wittenberg en octobre 1517, le livre de Grandjean, écrit pour un public large, séduit par son honnêteté. En effet, l’historien se refuse à toute apologétique, il critique même sa propre tradition religieuse, l’analyse de l’affaire Servet en est un des exemples.
Davantage encore, l’auteur évite tout anachronisme et nous indique finement en quoi la Réforme est le Matin du monde moderne et en quoi elle ne saurait l’être : « Il est vain de chercher à identifier sans autres formes de procès la cause de la Réforme et la modernité (…). Les réformateurs ne sont pas modernes en tout point ; on ne peut par exemple les créditer d’avoir inventé la démocratie ou les doits de l’homme. Et pourtant. L’Europe moderne n’aurait pas eu le visage ni la trajectoire qui ont été les siens sans le discours que les réformateurs ont tenu sur la valeur de l’humain face à Dieu, sur la responsabilité de l’individu qui ne doit pas agir contre sa conscience, sur le sacerdoce universel qui abolit la frontière entre les clercs et les laïcs, sur la nécessité de traduire la bible dans les langues que parlent les peuples, sur le droit de résister au souverain injuste ou encore, avec ce marginal de la Réforme qu’a été Castellion, sur la liberté des consciences ».
Je relève la pertinence de l’analyse que Grandjean propose à propos de Luther en insistant, davantage que sur l’affichage de 1517, sur la position éminemment moderne du réformateur qui condamne l’image « d’un Dieu qui juge et envoie les coupables à la mort » lui opposant celle d’un « Dieu qui aime l’humain en dépit du fait qu’il n’est pas aimable ». Dans les pages intitulées Pas d’indulgence pour les indulgences, nous trouvons cette belle exhortation : « Accepter d’être accepté, en dépit de ses fragilités, de ses défaillances, de ses échecs, tel est probablement l’un des plus grands défis de l’existence humaine, au XVIe comme au XXIe siècle (…) Accepter de tenir sa place dans le monde et dans la société indépendamment de ses performances personnelles et malgré les diktats de la sacrosainte compétitivité (…) c’est tout cela que Luther n’a eu de cesse de rappeler à ses étudiants quand il commentait l’Ecriture ».
Je relève enfin deux points qui témoignent de la finesse du travail de Grandjean. En premier lieu, ce qu’il dit au sujet de l’immense dette que les langues modernes de l’Europe actuelle doivent à la Réforme : « En traduisant la Bible, Luther donne à l’allemand une cohérence et donc à l’Allemagne un début d’identité. En publiant en français, et non seulement en latin, l’Institution de la religion chrétienne, Calvin joue dans la naissance du français moderne un rôle que les historiens de la langue sont unanimes à relever ». Même reconnaissance pour le travail des réformateurs anglais et l’engagement du Roi Jacques 1er qui « contribuera par cette Bible, davantage encore que Shakespeare par toute son œuvre, à façonner la langue anglaise que l’on parle aujourd’hui ».
En second lieu je pointe les lignes consacrées au rapport au pouvoir politique et au « droit à la résistance ». L’auteur y relève le lien qu’il y a entre la foi d’un Calvin ou d’un Théodore de Bèze, autres grands réformateurs, et la Déclaration des Etats généraux des Provinces Unies (futures hollandaises) de 1581 à La Haye. « C’est de là que naîtra une pensée politique constitutionnelle. Nul n’est au-dessus de la loi, pas même le souverain. S’il la viole, il devient tyran ».
Pour conclure, La Réforme, Matin du monde moderne est un livre qui décrit avec pertinence le génie du protestantisme dans ce qui le différencie des autres religions, dans son rapport au monde, à la culture, à la science et au pouvoir politique. Je me prends à souhaiter -on peut rêver !- que ces pages soient diffusées aux enseignants ou parmi les adeptes d’une laïcité d’exclusion de la foi hors du champ politique. Si la lecture de ces pages pouvait les aider à dépasser leurs clichés, La Réforme, Matin du monde moderne aurait rempli un signalé service au protestantisme et à la société des hommes…
Daniel Neeser, pasteur retraité, Genève

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Préparer les 500 ans de la Réformation

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ID 1414 luther-et-la-reforme-protestante-  La maison d’édition lyonnaise Olivétan a fait paraître récemment deux ouvrages sur Luther en amont de la commémoration des 500 ans de la Réformation. Luther a en effet présenté 95 thèses en 1517 et on a choisi communément cette date comme acte de naissance de la Réforme.

 

 ID 1414 Annick Sibue Luther et la Réforme protestante, d’Annick Sibué, 2016, 194 p.
Ce livre souligne l’audace et la détermination de Luther pour faire valoir la vérité libératrice découverte dans l’Évangile, face à l’institution religieuse de son époque.
Il s’agit d’une réédition revue et augmentée d’un ouvrage écrit en 2011. La présentation se veut la plus pédagogique possible, dans une perspective historique, plutôt destinée à des lycéens ou des étudiants qui auraient besoin d’acquérir rapidement des informations.
En effet, Annick Sibué, grande connaisseuse de la littérature allemande, réussit le tour de force de faire découvrir de manière simple et très vivante le contexte historique de Luther, son parcours spirituel personnel, l’opposition grandissante avec l’Église jusqu’à la rupture avec Rome. Elle montre comment l’influence que Luther a eue ensuite sur les Églises protestantes et la société tout entière, les a préparées à entrer dans la modernité.
Ce livre donne de précieuses clés pour lire l’actualité contemporaine et pour dénoncer toutes les formes totalitaires de religion.
Annick Sibué, professeur agrégée d’allemand, s’est spécialisée en littérature et civilisation germanique à l’université de Paris IV Sorbonne et de Bonn. Son domaine de recherche porte sur Luther et la Réforme.
ID 1414 Martin Luther (1517-2017), Puiser aux sources du protestantisme, de Marc Frédéric Muller, 2016, 218 p.
Pasteur de la paroisse luthérienne de Bourg-la-Reine. et docteur en théologie, l’auteur propose une lecture de la théologie de Luther.
La commémoration des 500 ans de la Réformation (1517-2017) donne l’occasion de redécouvrir les racines d’un mouvement de foi qui a transfiguré le christianisme, en Europe d’abord, puis dans le monde entier.
L’ancrage dans ce patrimoine historique et théologique n’est pas évident : les Églises sont préoccupées par des problèmes liés à la sécularisation ou à la précarité économique, aux violences sociales, aux tensions interreligieuses, ou encore à l’instabilité politique, à la dégradation des écosystèmes.
Marc Frédéric Muller montre avec beaucoup de talent que se plonger dans les textes théologiques du réformateur Martin Luther offre des ressources insoupçonnées pour penser notre présent. Il s’agit de faire jouer de façon créative les décalages culturels entre le 16e et le 21e siècle, en examinant toutes les conséquences d’une relation à Dieu résolument placée sous le signe de la grâce : « le salut n’est pas à vendre », « l’être humain n’est pas à vendre », « la création n’est pas à vendre » (selon les axes définis par la Fédération luthérienne mondiale).
Marc Frédéric Muller nous fait entrer dans la théologie de Luther (la foi, l’Écriture, l’Église et le témoignage chrétien), mais aussi dans sa conception de la création en examinant des sujets qui rejoignent nos préoccupations quotidiennes (le rapport à la nature, la conjugalité et l’exercice du pouvoir).
Un livre précieux pour tous ceux qui souhaitent un « droit d’inventaire » de l’héritage luthérien.

 

 

 

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Martin Luther, l’aventurier de Dieu

 

Annick Sibué, Martin Luther. L’aventurier de Dieu, OPEC / Olivétan, 128 pages.

Vous souhaitez rafraîchir vos connaissances à propos du moine allemand ? Vous voulez vous préparez pour 2017 et les festivitées des 500 ans de la Réforme ? Vous souhaitez offrir un livre qui explique les origines du protestantisme ? Voici un ouvrage pour vous…

Les 500 de la Réforme approchant à grands pas, le réformateur Martin Luther va être au centre de l’intérêt pour une longue période. A tous ceux, petits et grands, qui aimeraient commencer par le commencement, ce petit ouvrage de 130 pages intitulé « Martin Luther, l’aventurier de Dieu » offre une initiation bienvenue. Son expérience d’enfant battu, son adolescence studieuse, sa vie de moine, ses idées révolutionnaires, sa traduction de la Bible, son mariage… Les étapes de la vie de Luther sont présentées de façon claire. Une carte permet de le suivre dans les lieux qui ont compté dans sa vie, Eisleben, Eisenach, Erfurt, Wittenberg… et de comprendre l’organisation de l’Europe à son époque. De nombreuses illustrations égayent le texte et nous plongent dans la société de son temps. (texte tiré du site http://www.bonnenouvelle.ch).

Sommaire:

  1. Martin Luther, un enfant et élève comme les autres
    L’enfance de Luther, c’est celle d’un enfant du 15e siècle, et vu d’aujourd’hui, cela n’avait vraiment pèas l’air facile…
  2. Martin Luther, un étudiant modèle, mais…
  3. Luther au couvent: un moine trop zélé et un prêtre torturé par le doute !
  4. Une découverte lourde de conséquences
  5. Un bien rude combat pour la nouvelle foi
  6. Le mystérieux chevalier Georges
  7. La traduction de la Bible en allemand, une sacrée entreprise !
  8. Une lutte sans merci contre les dérives de la Réforme
  9. Un mariage pas comme les autres
  10. Luther, père de famille !
  11. La Réforme de Luther, un succès grandissant
  12. Epilogue

 

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Jésus ? 12 questions impertinentes

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ID 1372 jesus-12-questions-impertinentes 

Jésus, un casse-tête théologique…

Jésus de Nazareth est une figure marquante de l’histoire humaine qui suscite des interrogations et des questionnement de toutes sortes.Qui était-il ? Que peut-on vraiment savoir de lui ? Quel était son message et que représente-t-il pour nous ?

Douze questions et réponses sur Jésus, illustrées avec humour par des dessinateurs de presse, preuve qu’on peut rire… tout en réfléchissant !

Jésus ? 12 questions impertinentes

Controverses et avis d’experts

par Gilles Bourquin* (éd.)

Jésus était-il bel homme ? Est-il né d’une femme vierge ? Et en fait, a-t-il vraiment existé ? Était-il un faiseur de miracles ? Sa mort n’a-t-elle pas été un échec ? Est-il vraiment ressuscité ?

Ce livre affronte les questions à la fois les plus incongrues et les plus fondamentales sur Jésus de Nazareth. Les réponses avancent à chaque fois les arguments pour le oui et pour le non, ce qui permet de faire le point. Pour terminer, l’avis de l’expert donne la parole aux meilleurs spécialistes.

Toutes les questions sont illustrées avec humour par un dessinateur de presse, preuve qu’on peut rire… en réfléchissant ! Chacun et chacune pourra ainsi affiner son propre regard sur Jésus, ce « casse-tête théologique ».

Avec des contributions de Frédéric Amsler, Pierre Bühler, Simon Butticaz, Claire Clivaz, Elian Cuvillier, Andreas Dettwiler, André Gounelle, Daniel Marguerat, Valérie Nicolet Anderson, Elisabeth Parmentier, Jean Zumstein.

*Gilles Bourquin est théologien et journaliste à La Vie protestante. Il a publié une Théologie de la spiritualité.

Coédition : OPEC / Olivétan
Parution : décembre 2015
Format : 14 x 20 cm, 104 pages couleurs

Feuilleter un extrait en ligne cliquer ici

 

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Plume d’ange

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ID 1370 75 

Un album fin et sensible pour les enfants sur l’histoire de Noël … et sur la promesse de chaque vie.

Plume d’Ange est un album de Noël qui ne parle pas du Père Noël. Marion Muller-Colard, à travers les traits d’un petit ange apprenti, invite à revisiter l’histoire de Noël à partir de ses fondements traditionnels.

L’écriture, alliant poésie et humour, redessine de façon originale une invitation qui concerne tout un chacun : apprivoiser sa propre fragilité et celle des autres, explorer le vertige dans les allers-retours entre l’Infiniment Grand et l’Infiniment Petit.

C’est avec une grande ingéniosité et beaucoup de sensibilité que les illustrations de Lucie Deroin servent le texte. Dans cet album, l’illustratrice strasbourgeoise allie avec une grande maîtrise mouvement et douceur, fraîcheur et profondeur, sans perdre une miette de sens.

À déposer au pied du sapin sans nécessairement s’encombrer d’une barbe blanche…

 

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Informations pratiques :

Auteur : Marion MULLER-COLARD
Illustrations à l’encre : Lucie DEROIN
Éditeur : Éditions Passiflores
Prix : 14,00 euros

Vous pouvez commander :

– En écrivant à commande@passiflores.com. Par retour nous accuserons réception de votre commande et nous vous communiquerons le forfait pour les frais d’expédition (entre 4,00 € et 15,00 € selon le poids).

– En commandant directement sur notre eboutique.http://www.passiflores.com/eboutique/

L’expédition sera effectuée dès la réception de votre règlement (chèque uniquement).
Chèques à l’ordre des Éditions Passiflores.

Adresse d’expédition du chèque :

Éditions Passiflores

L’Herbaille

Le Bourg de Boyer

F – 71700 TOURNUS

 

 

 

 

Actes du colloque « Les (rois) Mages »

ID 1366 Graphé
 ID 1366 Graphé

Le colloque annuel organisé par la revue Graphè, fidèle à une alternance entre Ancien et Nouveau Testament, a été consacré en 2010 aux (rois) Mages, figure emblématique des récits de l’enfance dans les évangiles où histoire et théologie s’avèrent intimement liées.
Seul Matthieu rapporte la présence des Mages (Luc met en scène l’adoration des bergers) au moment de la Nativité. Mais la péricope (Mt 2, 1-12) ne les désigne pas comme monarques (d’où la parenthèse dans le titre du colloque), n’indique pas leur nombre et ne mentionne pas leur nom…

Venus d’Orient et guidés par une étoile, ils viennent honorer « le roi des Juifs qui vient de naître » à Bethléem, et lui apportent trois présents : l’or, l’encens et la myrrhe. Au-delà du simple récit proche du conte, le texte révèle un fort antagonisme entre Hérode le Grand et le nouveau-né présenté comme le Messie. Peut-on d’ailleurs lire la scène sans prendre en compte le massacre des Innocents ? Dans un jeu de cache-cache avec le roi, les Mages représentent les nations païennes et constituent un témoignage décisif dans l’histoire du salut.
Face à la sobriété du récit et à sa dimension dramatique, la tradition – relayée par la piété populaire – va s’emparer de ces versets pour amplifier, préciser et compléter les quelques éléments historiques et géographiques donnés dans le passage matthéen. C’est ainsi que, suivant les sources, le nombre de protagonistes oscille entre deux, trois ou douze, et qu’un quatrième roi, énigmatique, apparaît dans la littérature contemporaine. Le pays d’origine est lui-même objet de questionnement. Chaque Mage se verra attribuer une patrie dans la lointaine filiation des fils de Noé et portera bientôt un nom.

Les trois présents ont également nourri une riche symbolique. La littérature apocryphe offre à ce sujet de nombreuses variantes dont témoigne La Légende dorée. Le récit invite à s’interroger sur l’étoile qui guide les Mages et sur le thème de l’universalisme qui sous-tend la narration et justifie la fête de l’Épiphanie dans le rite latin. Quant à l’itinéraire de retour, il a conduit les mystérieux voyageurs jusqu’aux frontières de l’Inde avant que leurs reliques ne soient honorées d’abord à Milan, puis à Cologne. L’iconographie est tout aussi abondante. La scène de l’« adoration des mages » apparaît dès l’époque paléochrétienne dans les catacombes. Dans la fameuse mosaïque de Sant’Apollinare Nuovo à Ravenne, les Mages sont vêtus en costume persan et portent le bonnet phrygien. Des programmes sculptés des cathédrales aux représentations plus anecdotiques des XVIe et XVIIe siècles, la scène s’inscrit souvent dans les cycles narratifs comme pendant de l’annonce aux bergers.
La visite des Mages fait partie de ces épisodes bibliques qui ont copieusement nourri l’imaginaire occidental. Elle a l’allure d’une véritable (en)quête où une étoile, un roi jaloux et un oracle prophétique constituent des indices précieux. Dans une démarche intertextuelle et pluridisciplinaire, le colloque a porté sur la figure des mages dans les Écritures, sur son évolution
au gré des époques, et, toujours en miroir du texte biblique, sur les relectures littéraires, philosophiques et artistiques qu’elle a pu susciter au fil des siècles.
L’ensemble des communications est parue dans le numéro 20 de la revue Graphè.

Pour tout renseignement, s’adresser à :
Université d’Artois / Maison de la Recherche
Revue Graphè numéro 20 – colloque « Les (rois) Mages »
9 rue du temple BP 10665 F – 62030 Arras cedex
téléphone : 03 21 60 38 26 / télécopie : 03 21 60 38 12
courriel : mariejeanne.dessery@univ-artois.fr
www.univ-artois.fr/graphe

 

 

 

 

 

 

 

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Petit jaune et Petit bleu

ID 1329 115
ID 1329 115 

Petit Bleu a plein d’amis, mais son meilleur ami c’est Petit Jaune. Un jour, Maman Bleu laisse Petit Bleu seul à la maison en lui demandant de l’attendre. Mais, Petit Bleu sort pour aller jouer avec Petit Jaune. Après l’avoir longuement cherché, Petit Bleu et Petit Jaune se retrouvent et ils s’embrassent si fort, qu’ils deviennent tout vert. De retour à la maison, leurs parents ne les reconnaissent pas. Petit Bleu et Petit Jaune sont si tristes qu’ils se mettent à pleurer. Des larmes bleues et jaunes coulent de chaque côté et Petit Bleu et Petit Jaune retrouvent leur couleur. Ils rentrent chez eux avec leurs parents et ils sont très heureux.

Ce livre publié en 1970 est très vite devenu un classique de la littérature jeunesse, tant par son approche graphique originale que par la profondeur des sujets qu’il aborde, notamment l’amitié et la différence.

Livre sélectionné par le Ministère de l’Education nationale
Retrouvez la fiche pédagogique de ce livre sur le site « enseignants.ecoledesloisirs.fr » ou cliquer ici

Texte et illustrations : Leo Lionni

Âge : 3 à 5 ans
Collection : Albums 10,20 €  (EAN13 : 9782211011716)
Collection : Lutin poche 5,60 €  (EAN13 : 9782211058780)
Disponible
Première édition à l’école des loisirs : 1970

Une petite vidéo en musique pour animer le livre sur lequel a travaillé  Marina BERNARD avec la petite section de maternelle (Laval maternelle Antibes 06 ). Réalisée avec sa propre voix et le génie de Mozart en cadeau à ses petits élèves

 Lien vers l’histoire racontée sur  You Tube cliquer ici

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La fête de Pentecôte

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La fête de Pentecôte – Accueillir l’Esprit de Dieu de Rainer Oberthür illustrations de Renate Seelig, adaptation française Christian Bonnet et Vital Gerber. Pourquoi fêtons-nous Pentecôte ?

Cette fête donne à un enfant l’occasion de poser des questions à son papa…

Pourquoi fêtons-nous Pentecôte ?

Est-ce que cette fête a quelque chose à voir avec Pâques ?

Et que signifie cette histoire de langues de feu et de Saint-Esprit ?

Est-ce que la Bible raconte quelque chose au sujet de Pentecôte ?

Des langues de feu qui descendent du ciel ? Qu’est-ce que cela signifie ?

La fête de Pentecôte donne ici à un enfant l’occasion de poser des questions à son papa.

La discussion qui s’ensuit parcourt différents récits de la Bible. L’enfant y découvre que l’Esprit de Dieu a toujours été présent parmi les humains, au commencement de la création comme au jour de Pentecôte, qui marque les débuts de l’Église.

Cet Esprit d’amour continue d’agir, aujourd’hui encore, dans la vie des croyants.

 

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 Prix : 12,50 € TTC   

 

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Ce qui me nourrit

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ID 1312

Animation pour groupe d’ados ou stand pour une fête. Le but est de permettre aux participants de réfléchir et de nommer ce qui nourrit réellement leur vie.

DÉROULEMENT :

1.    Installer les photos de familles de divers pays du monde devant la nourriture qu’elles consomment en une semaine. Inviter les gens à bien observer ces différentes photos.

2.    Ensuite demander aux participants de se poser la question  : « Et moi qu’est-ce que je mange en une semaine ? » Pour les aider, ils se déplacent vers un panneau où se trouve un bonhomme grandeur nature avec un trou à la place de la tête.

3.    Sur le panneaux se trouvent des vignettes de tailles différentes représentant divers aliments. Ils choisissent les vignettes correspondant à leur alimentation et la taille de la vignette en fonction de la quantité consommée. Ils accrochent ces vignettes sur le ventre du bonhomme.

4.    Ailleurs sur le panneau se trouvent des vignettes représentant des activités humaines. Ils doivent choisir ces vignettes en fonction de ce qui nourrit leur âme et déposent ces vignettes dans un phylactère en dessus de la tête du bonhomme.

5.    Après quoi, le participant installe sa tête dans le trou ad hoc dans le panneau et une photo représentative de ce qui le nourrit est prise et lui ai remise ou envoyée par courriel.

6.    Toute la démarche ludique permet de discuter avec les gens, ou de faire discuter les ados entre eux, sur ce qui les nourrit physiquement mais aussi spirituellement. Pour les ados, un dialogue ouvert conduit par un animateur peut les amener à avoir une discussion sur le sens de la vie et l’essentiel en prenant pour base les photos de chacun d’eux.

Matériel nécessaire

– Panneau de bois avec bonhomme et trou pour la tête

– Vignettes équipée de velcro avec images d’aliments et d’activités humaines

– Bandeau : « Que consomment-ils en une semaine ? »

À Table ! Dossier pédagogique qui permet d’étudier les habitudes alimentaires dans le monde à partir de photographies de Peter Menzel qui représentent la consommation hebdomadaire de 16 familles de tous les continents.
Un livret pédagogique, en lien avec les programmes du cycle 3, propose :

  • 21 séances, autour de 4 thématiques : s’alimenter et savourer, manger ici et ailleurs, la faim, l’alimentation dans l’économie mondiale.
  • une initiation à la lecture de l’image
  • des données pour éclairer le contexte (cartes, tableaux de statistiques…)

Un cédérom contient des fiches d’activité pour les élèves et les photographies de Peter Menzel et des documents complémentaires, à imprimer ou à projeter en classe.

Une coédition Alliance Sud (Suisse) et CRDP de Lorraine (France), en collaboration avec la Fondation Éducation et Développement (Suisse), 2010

Pour se procurer ce dossier :

En France cliquer ici

En Suisse cliquer ici

Également disponible : À Table ! Dossier pédagogique Collège-Lycée

 

 

 

 

 

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